
Présentation du livre
Ce livre est le témoignage courageux et révélateur de Raimundo Ela Nsang, ingénieur formé en France et militant politique en exil. À travers son histoire personnelle, il nous ouvre les portes des mécanismes cachés de la dictature féroce de Guinée équatoriale, et surtout, de la complicité des puissances occidentales — dont la France — qui soutiennent ces régimes en échange du pillage des ressources naturelles.
Des prisons du régime aux couloirs de l’administration européenne, Ela Nsang raconte comment sa vie a été marquée par la répression, l’exil et le silence imposé. Mais il montre aussi comment, de cette expérience, est née une vision nouvelle : celle d’une Afrique libre, numérique, souveraine et unie.
Ce n’est pas seulement un livre de dénonciation. C’est un manifeste pour la dignité, la justice et un changement en profondeur. Une lecture essentielle pour quiconque croit qu’un autre monde est possible.
Comment acquérir le livre

Objectifs de ce livre
Politique: pour une véritable transition en Guinée équatoriale
TIB et DIS+ : une digitalisation inclusive au service de l’Afrique
Justice et transparence : pour la responsabilité des multinationales
À qui s’adresse ce livre ?
Ce livre est avant tout une conversation urgente avec l’Afrique. Avec sa jeunesse courageuse, avec ses peuples qui résistent, avec ses dirigeants qui hésitent encore entre la soumission et le réveil. C’est un appel à l’action, à la dignité, à la souveraineté.
C’est aussi un message direct aux gouvernements occidentaux. À ceux qui, sous le voile de la diplomatie, continuent de maintenir des régimes autoritaires, pour des intérêts économiques et géostratégiques. Je vous le dis : le monde a changé. L’Afrique exige le respect, pas la compassion ; la justice, pas la charité.
Ce livre met au défi les multinationales qui exploitent les ressources africaines sans avoir à rendre de comptes. Aux journalistes qui osent encore raconter ce que d’autres taisent. Aux universitaires qui étudient l’Afrique sans l’écouter. Aux décideurs publics qui conçoivent l’avenir sans les gens. Aux organisations de défense des droits de l’homme, dont l’engagement ne doit pas avoir de frontières.
Et, par-dessus tout, ce livre s’adresse à tous les peuples du monde qui croient encore en la justice, en la dignité humaine et au pouvoir de la vérité pour changer les choses. Si vous pensez que l’Afrique mérite mieux, ce livre est aussi le vôtre.
Témoignages
Ce que les gens disent du livre
Un livre peut-il vraiment tout changer ?
Ce n’est pas juste une dénonciation. C’est un appel à se lever.
Un témoignage visuel de la lutte politique
Plus de 20 ans de persécution et de résistance
Ce contenu multimédia retrace une lutte de plus de vingt ans contre la dictature en Guinée équatoriale, entamée après mon retour au pays en tant qu’ingénieur. Persécuté pour avoir affronté un système corrompu, allié à des multinationales, j’ai trouvé dans l’exil la force de devenir un acteur politique. Plus que de simples souvenirs, ces documents sont des preuves vivantes de résistance, de conscience et d’espoir. Un appel visuel à celles et ceux qui croient que l’Afrique mérite justice et liberté.
Dans ces deux vidéos, je dénonce, dans la première, la situation d’exclusion sociale imposée par le régime d’Obiang, la misère dans laquelle il maintient le peuple, ainsi que la stratégie du faux panafricanisme qu’il utilise pour accuser l’opposition en exil d’être affiliée à l’Occident.
Dans la seconde vidéo, je critique l’invitation faite par le président Obama à Obiang, résultat de la pression exercée par les compagnies pétrolières, tandis que d’autres dictateurs sont exclus. Je dénonce le fait que ces entreprises pétrolières cherchent à contrôler le changement politique en Guinée équatoriale.
Dans ces vidéos, le régime révèle son visage le plus répressif et son mépris total des droits humains.
Dans la première vidéo, je dénonce depuis le Portugal, sur la chaîne d’information 24Horas, les déclarations du président Obiang lors du congrès de son parti, où il affirme qu’il donnera l’ordre de couper les tendons des voleurs, en réponse à la montée de la délinquance juvénile — un phénomène directement lié à la misère imposée au peuple, malgré les ressources abondantes du pays.
Le plus grave, c’est que dans la seconde vidéo, Obiang reconnaît implicitement que tous ceux qui se sont enrichis en Guinée équatoriale l’ont fait en volant l’État.
Alors, à qui devrait-on vraiment couper les tendons ?
Une pression qui inquiétait, mais n’a pas atteint son objectif
Bien que, tout au long de la décennie à partir de 2010, je traversais de nombreuses difficultés, je disposais encore d’un certain espace pour m’exprimer, notamment après la création de la CORED en 2013. J’ai pu m’activer politiquement, apparaître dans certains médias importants et rencontrer quelques responsables, comme sur cette photo prise lors d’une cérémonie avec l’actuel président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, alors secrétaire du Parti socialiste, à une époque où l’on pressentait déjà qu’il deviendrait le prochain chef du gouvernement.
Même si le régime montrait des signes de faiblesse — en convoquant des dialogues nationaux —, il restait conscient que, grâce au pétrole comme garantie, il conservait un pouvoir de négociation. La pression la plus directe venait de Malabo, qui avait organisé une persécution systématique, tout en infiltrant également l’opposition de l’intérieur.


Le tournant
L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron.
L’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir a marqué un tournant dans mon combat politique contre le régime d’Obiang.
La réception officielle du dictateur au Forum de la Paix de Paris, alors qu’il venait tout juste d’enlever un militant de mon parti, a révélé une complicité troublante.
À partir de ce moment-là, les pressions ne venaient plus seulement de Malabo, mais aussi de la France, le pays censé me protéger.
Ce basculement décisif a donné tout son sens et son urgence à la publication de ce livre, qui est à la fois un récit personnel et un témoignage politique.
Briser le silence, répandre la vérité
La publication de ce livre révèle la profonde contradiction des élites qui gouvernent aujourd’hui l’Occident :
d’un côté, elles prétendent lutter contre l’immigration ;
de l’autre, elles persécutent les leaders africains qui œuvrent à construire une Afrique souveraine, capable d’offrir à ses peuples un avenir digne.
Au fond, ne s’agit-il pas toujours du même combat pour le contrôle des ressources naturelles ?
L’auteur invite à une réflexion plus profonde : la civilisation occidentale moderne, fondée sur la compétitivité effrénée, a détruit des cultures et des civilisations qui promouvaient la solidarité et le partage.
Aujourd’hui, face à l’état catastrophique du monde, ces élites persistent à reproduire un modèle en échec, refusant d’apprendre de leurs propres erreurs.
Pourtant, l’installation d’un panafricanisme authentique en Afrique est irréversible.
Ce livre peut recevoir deux types d’accueil :
Soit il sera combattu, comme le sont tous les mouvements panafricains qui luttent pour la souveraineté de l’Afrique ;
soit il sera compris et soutenu, comme une revendication légitime de liberté et de dignité.
Nous, les porteurs de cette œuvre, proposons un nouveau modèle social, enraciné dans nos réalités ancestrales de solidarité :
plus de luttes fratricides pour les ressources, mais de la coopération, de la paix et une justice partagée.
Nous savons que pour atteindre cet idéal, résistance et sacrifice seront nécessaires.
Ce livre est donc un catalyseur de plus sur le chemin de la souveraineté des peuples africains, comme le démontrent aujourd’hui les États de l’Alliance du Sahel.
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Ce que nous vous offrons
Parce que nous voulons que cette vérité circule librement et atteigne le plus grand nombre de personnes possible, nous vous proposons :
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✅ Un résumé gratuit du livre, téléchargeable directement sans inscription.
✅ Des documents complémentaires pour approfondir la compréhension du contexte et de notre lutte.
Questions les plus fréquentes
FAQ
Nous n’attaquons ni des personnes ni des institutions gratuitement.
Nous dénonçons des pratiques injustes, des corruptions et des complicités documentées qui nuisent au peuple de Guinée équatoriale et à l’Afrique en général.
Notre objectif est de défendre la justice, la souveraineté et les droits humains.
Non. Tout est basé sur des faits réels, des témoignages vérifiables et des sources publiques. Notre plainte est étayée par des preuves solides, et non par des spéculations.
Ils peuvent tenter des campagnes de diffamation, des menaces juridiques ou des pressions indirectes.
Nous avons activé des réseaux de protection, une assistance juridique internationale et des alliances médiatiques indépendantes pour nous défendre.
Nous continuerons à diffuser des témoignages, des preuves et des analyses dans plusieurs langues et dans des forums internationaux, en renforçant nos partenariats avec les journalistes, les militants et les défenseurs des droits humains.
Oui. Nous protégeons l’identité de nos collaborateurs et partisans. Notre système de communication respecte strictement la vie privée et nous ne partageons pas de données avec des tiers ou des gouvernements.
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MILIGE se bat non seulement pour la libération de la Guinée équatoriale, mais aussi pour la transformation souveraine et juste de toute l’Afrique, basée sur la vérité, la dignité et la reconstruction politique, économique et culturelle de nos pays.